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La blessure de l'abandon

  • Photo du rédacteur: Sandr'ailes Coaching
    Sandr'ailes Coaching
  • 9 janv. 2024
  • 2 min de lecture
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  • Le syndrome Abandonnique est un syndrome violent et handicapant à la longue, car il nous ramène à notre enfant intérieur, qui s’est senti à un moment donner délaisser, rejeté, insécurisé et négligé par un des 2 parents.

  • Lise Bourbeau dans son livre les 5 blessures de l’Âme la décrit comme une blessure profonde, et importante au même titre que le rejet. Leurs cicatrices sont donc, plus difficiles à soigner que les 3 autres (petit rappel, il y a 5 blessures d’après Lise : l’abandon, le rejet, l’injustice, la trahison, l’humiliation que je vous proposerais plus tard dans un nouveau poste).

  • Cette blessure est en lien avec le parent du sexe opposé, elle apparaît entre 1 et 3 ans, et porte le masque du dépendant (ce qui le rendra bien évidemment, et suivant la puissance de la blessure, dépendent affectif).

  • Jean Louis WOERLE dans son approche de « l’angoisse dans l’œuvre de FREUD » (Freud utilisait la notion d’angoisse de l’abandon), nous indique que ce célèbre neurologue fondateur de la psychanalyse, tentait de « jeter un pont entre signifiant et jouissance, entre symbolique et réel ». Il parlait de névrose d’angoisse, d’angoisse et phobie, de pulsions et destins des pulsions, de refoulement, d’inhibition et bien d’autres choses.

  • L’abandonnique se lancera alors dans une quête incessante d’affection mais fera en sorte de tenir l’autre à distance afin de se persuader réellement que l’on veut l’abandonner. Il ou elle aura du mal à s’affirmer, à exprimer ses besoins, ses émotions, ses désirs et se sentira souvent seul(e), coupable, désespéré(e) et triste.  Le subconscient nous joue parfois des tours et il applique et reproduit les programmes qui lui ont été transmis.


  • Son comportement passera d’une manière alternée entre l’agitation et l’abattement.

  • Son émotivité pourra être spatiale, ainsi que son empathie qui jouera au yoyo entre une phase de compréhension douce et une phase de ras-le-bol explosif (bien évidemment la puissance de l’externalisation de ses émotions dépendra de la profondeur de la blessure et son encrage).

  • L’abandonnique redoute la solitude (la peur qu’on l’abandonne s’installe très vite).


Comment  rejoindre le chemin de la guérison de cette blessure :


Le thérapeute vous aidera pour :

  • L'identifier

  • Comprendre son fonctionnement

  • Mettre en place un travail cicatrisant pour apprendre à la gérer

  • Evoluer vers un pansement Anti-Abandon


Temps de lecture: 3 min

 
 
 

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